J’ai utilisé spontanément et naturellement le WD40, qui m’avait toujours donné satisfaction tant pour la mécanique auto/moto/vélo que pour le bricolage quotidien à la maison, pour corriger un très léger « collage » d’une touche de cette Tippa, en état quasi-neuf. Résultat: toutes les barres sont devenues inutilisables, de même que le passe-marge et le passage de la corbeille en majuscule. J’ai dû entièrement démonter la machine pour en retirer jusqu’à la dernière trace, et il est heureux que j’aie pu déposer la corbeille pour la baigner dans l’essence C, car ça m’aurait fait mal au coeur de mettre à la déchetterie une machine autrement si bien conservée. En me renseignant par la suite, j’ai appris que le WD40, dont les qualités sont unanimement reconnues, était inadapté aux machines à écrire. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Je suppose qu’il réagit mal au contact de certains produits utilisés à l’époque pour l’entretien des machines à écrire (aucun souci avec la peinture, en revanche.) En tout cas, j’ai bien retenu la leçon: je le réserve maintenant pour d’autres usages et quant aux machines à écrire, c’est huile de vaseline only.