Je suis fier de dire que deux de ces bruits disparus, non seulement ne le sont pas pour moi, mais ponctuent même mes journées de travail: celui de la machine à écrire, bien sûr (la plupart du temps, une Olympia SM9), et celui du téléphone à cadran, modèle 1963 !
J’attendais avec impatience cet article après la visite de la journaliste Clémence Maret au Musée de la machine à écrire et à calculer de Montmorillon.