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Bonjour,
La soufflette est un bon début. Pour dépoussiérer correctement les recoins, il est cependant nécessaire de démonter partiellement la machine, ce à quoi elle se prête normalement bien. En tapant « démontage Underwood N°5 » sur Google, vous devriez pouvoir trouver quelques conseils en ce sens.
Les avis sont partagés sur le WD40. Pour ma part, j’utilise de l’huile de vaseline, sans inconvénient pour le moment, mais je n’ai qu’un an de recul.
Bonne remise en route !
Ah, la Rooy ultra-plate (des années 50), son ruban de 11 mm et ses bobines spécifiques et introuvables… Je crains, mon cher Guillaume, que la manière la plus rapide de vous procurer une seconde bobine soit de commander un deuxième ruban chez votre fournisseur anglais. Evidemment, à 15 euros le ruban, ça commence à faire cher pour une machine qui se trouve communément, complète, pour 10-15 euros, mais la bonne nouvelle, c’est que si vous ne pensez pas avoir l’utilité de ce second ruban, il trouvera facilement preneur (moi, par exemple…)
Sinon, si vous avez d’autres machines pour patientez, vous attendez le retour de la saison des vide-greniers…
Bonne chance,
Stéphane
Ici, le manuel de l’Underwood N°5: http://www.machinesoflovinggrace.com/manuals/Underwood3-5manual.pdf
Et ici, tout ce qu’il faut savoir pour réparer ou restaurer une N°5: http://johnesimmons.com/Typewriter/Articles/Manualpdf/Underwood_Repair_Manual.pdf
Evidemment, il vaut mieux avoir quelques notions d’anglais…cela dit, l’utilisation de la machine ne présente aucune difficulté particulière: elle fonctionne comme toutes les autres, ce qui est logique puisque toutes les autres ont été copiées sur elle…
Bonne frappe,
Stéphane
Félicitations, Beny, l’Invicta MP1, devenue par la suite Olivetti-Invicta MP1, est un modèle assez intéressant et pas si courant que ça.
La machine est fixée sur son socle par des charnières à l’arrière. En soulevant délicatement son « menton », tu la basculeras vers l’arrière et tu pourras alors lire le numéro de série sous la traverse centrale.
Hormis le levier de verrouillage du chariot ( un petit bitoniau pivotant, sur la gauche de la machine), pas de difficulté particulière à l’usage. Fais juste bien attention de ne pas perdre les caches supérieurs des bobines (ni les bobines elles-mêmes, spécifiques), et s’il n’est pas trop tard, couvre le levier de retour-chariot avant de fermer le coffret, pour ne pas en endommager le revêtement intérieur.
La particularité de la machine est le système d’entraînement des barres à caractères, par de petites crémaillères, comme sur les Remington Portable #1 et #2.
Il semble que la MP1 date du milieu des années 30.
Amuse-toi bien.
Waouh ! Jamais rien vu de pareil ! Difficile d’estimer une machine si rare: il faut trouver l’acheteur qui:
1) sait ce que c’est;
2) en cherche une;
3) est à proximité ou disposé faire un long chemin pour aller la chercher.
Sa valeur dépend aussi largement de son état, vu qu’il serait illusoire d’espérer trouver des pièces de rechange…
Salut Antho,
La pièce complète pourrait se refaire en alu, mais ne serait pas pas identique à l’autre, donc l’effort n’est pas justifié. La soudure paraît en effet délicate, sauf à passer par un atelier spécialisé, et la place disponible ne permet pas vraiment d’envisager de percer pour passer une petite vis.
Si c’était ma machine, je mettrais un petit coup de scie horizontal dans le margeur, au niveau du haut de la griffe cassée, et je plierais la partie du margeur située sous le coup de scie afin de recréer la griffe. Mais bon, ce choix est influencé par le fait que ma machine n’est pas esthétiquement irréprochable…
L’autre solution, c’est de chercher une machine pour pièces. Sachant que les Baby utilisent toutes les mêmes margeurs, au moins de 1940 à 1975, une version blanche en plastique des années 70 suffira à te dépanner sans te coûter trop cher. A moins qu’un membre du forum puisse te dépanner…
Les deux solutions ne sont pas incompatibles: tu peux tenter la première en attendant de trouver la donneuse.
Bonne chance,
Stéphane
Bonjour Anaïs,
As-tu réussi à résoudre ton problème ? Si non, dis-nous ce qui cloche exactement sur ta belle Japy P68 et nous essaierons de t’aider.
Sur ce modèle, le levier de verrouillage du chariot est sur la gauche, en bas et en avant du chariot. Il faut tirer la petite mollette noire pour pourvoir basculer le levier.
A bientôt,
Stéphane
Outre son absence traditionnelle, non seulement sur les portatives pour des raisons d’encombrement, mais aussi sur nombre de machines de bureau anciennes, et en effet le choix de remplacer parfois la touche 1 de certaines machines de bureau modernes par des « Fr », « 1/2 », « Nf » et autres « m² » selon l’époque et le choix du client, la Dactylette était une portative économique axée sur l’initiation à la dactylographie. D’où l’absence – aussi – du point d’exclamation, à bricoler en superposant un point et une apostrophe… Certaines portatives contemporaines (à commencer par ses soeurs Olympia Standard et Olympiette, mais aussi les Triumph Tippa et Contessa) proposaient, elles, touche « 1 » et point d’exclamation, dans un gabarit similaire.
Amuse-toi bien avec cette mignonne petite machine !
Les hauts de…quoi ? La Picardie, c’est ça ? Nous sommes ici entre amateurs de vieilleries, de prix en francs et de numéros de téléphone à quatre chiffres (comme sur la notice de ma Japy S18, que je viens enfin de lire !), alors les nouvelles régions…
Un peu trop au nord pour moi, et je ne connais personne dans ce coin-là, mais je vous souhaite de trouver un amateur.
Bon week-end,
Stéphane
Avec plaisir !
Au fait, vous ne nous avez pas indiqué dans quelle région se trouve la machine. Cela peut aider à trouver un amateur à proximité (le transport étant le principal frein aux transactions avec ce genre de machines.)
Très intéressant, cet article ! Et les défauts d’alignement de la machine sur laquelle il a été tapé renforcent son charme…
« Pas assez » » vieille » pour des collectionneurs « , c’est beaucoup dire, je trouve: cette Torpédo doit au moins aller sur ses 80 ans, et les mécascriptophiles ne se limitent pas tous aux machines du 19ème siècle !
Vos scrupules vous honorent, Kolojyku, mais à moins de trouver un amateur sur ce forum ou sur « l’autre », il vous sera difficile de restreindre vos clients potentiels aux collectionneurs: si vous fixez un prix bas (inférieur à 30 euros), vous risquez d’attirer, comme vous le craignez, des requins cupides, mais si vous demandez suffisamment pour les décourager (60 euros ou plus), les collectionneurs ne vous suivront pas.
Eh oui, ce n’est pas facile de vendre une machine à écrire en France aujourd’hui !
Si vous n’êtes pas trop pressé, commencez par mettre une annonce ici et sur l’autre forum, et qui sait, si la vente tarde à se concrétiser, peut-être cela vous laissera-t-il le temps de vous attacher à cette machine et vous décider à la garder ?
Belle machine, hiératique et sobre, dont la silhouette rappelle beaucoup la Royal 10. Et effectivement en clavier allemand. Belle trouvaille, en dépit des circonstances…
Attention, je ne parle que de machines à écrire. Je ne connais strictement rien aux machines à calculer. Et en relisant le message initial de Joris, je me rends compte qu’il n’est fait mention que de l’entretien de ses « machines ». S’il faisait uniquement référence à des machines à calculer, alors mon intervention est hors sujet et je vous prie tous de m’en excuser.
J’ai pris contact avec Marc sur « La passion des machines à écrire », mais je n’ai pas de réponse pour le moment ?
J’ai pas mal d’impératifs avec les enfants le 9, je vais donc essayer d’aller à Avon plutôt le vendredi 8.
Si les deux machines à écrire électroniques n’intéressent personne, je suis prêt à leur éviter la déchetterie à elles aussi…
Merci,
Stéphane
